17/03/2012

Les mauvaises herbes signaux de carences, ou l’effet Kervran dans la nature


L'effet Kervran ou autrement dit la transmutation ou fusion froide est observée partout dans la nature : Lorsqu'une terre est fortement carencée, elle va favoriser la pousse de certaines plantes qui vont transmuter les élément présents en éléments nécessaires pour un rééquilibrage de celle-ci. Les « mauvaises herbes » signalent ainsi par leur présence une ou des carences minérales et métalliques d’éléments de la terre de culture.
Ce processus d’équilibre fonctionnerait par l’apport des éléments chimiques de la plante sous la forme d’humus. Cette restitution à la terre étant trop longue (une année), on peut alors la remplacer immédiatement par une formule très rapprochée de celle de la plante et cela donne d’étonnants résultats : mauvaises herbe qui repousse plus après le désherbage et rendement considérablement augmenté pour la culture suivante qui est exempte de maladies et de parasites.
L’apparition des liserons : particulièrement difficiles à faire disparaître. L’analyse chimique du liseron permet de découvrir une énorme teneur en bore, donc une carence du terrain en bore. Le liseron synthétiserait le bore à partir d’autres éléments encore en abondance dans le terrain et l’apporterait en fumure à ce même terrain une fois composté.
Il suffira pour s’en débarrasser de procéder à un arrosage ou à un épandage sur le terrain, après l’avoir labouré ou désherbé grossièrement, d’une solution d’acide borique.
Cette loi ou ce principe est généralisé : ainsi la Pâquerette signale un terrain ruiné, une carence en chaux, potasse, phosphore et azote.
Le mouron signale une carence en carbone, bore, zinc ; le laiteron : carence en azote ; le séneçon : carence en chaux et potasse ; le pain de coucou : carence en azote et cobalt ; l’ortie : carence en fer, manganèse et cobalt, etc.
La restitution des éléments carencés fait disparaître la plante « signal » (mauvaise herbe) et est en même temps un apport d’éléments nutritifs et fertilisants qui renforcent la vitalité des plantes et les immunisent contre les maladies et parasites pour les cultures qui suivront en tenant naturellement compte des assolements. Une conséquence logique de ce rééquilibrage biologique de la terre est la disparition complète de la vermine qui est aussi une signature de carence, en général métallique, comme me l’a prouvé une expérience récente réussie à 100% : des plantes d ‘appartement envahies par des milliers de petits parasites, par un seul arrosage d’une solution d’eau et de métaux à l’exclusion de tout produit anti-parasites. Les métaux radient très fortement en énergie.
Il semble donc que l’envahissement progressif des cultures par des parasites,maladies, etc., malgré (ou à cause) la lutte chimique, est bien dû à des carences métalliques. La lutte par les toxiques est vouée à l’échec, on tue, encore et encore, mais on ne rééquilibre rien.

Les méthodes de biorésonance (ou information de la matière) appliquée en agriculture et la biodynamie, utilisent, elles, ces connaissances pour  une meilleure gestion de la nature et une aide à une agriculture durable, efficace et rentable.

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