30/03/2012

silice informée vue par Jacques Collin

Ces procédés utilisent les propriétés de la mémoire de l’eau pour restituer une information qui permet de purifier les eaux polluées.
Ces systèmes doivent non seulement ouvrir de nouvelles perspectives pour l’environnement, mais poser un certain nombre d’interrogations à la science actuelle.
En fait, personne à ce jour ne sait pourquoi cela fonctionne… Mais cela fonctionne.
Le principe est de capter  les
« champs du vide » ou ce qu’on appelle communément « l’énergie universelle ».
C’est de cette énergie que se nourrit le vivant pour assumer, à travers l’eau, son intégrité, sa cohérence et son harmonie, par exemple les constructions des formes, sa croissance selon un programme établi. Ce sont les ondes biologiques que captait Marcel Violet sur son dynamiseur. C’est la Source de toute chose.
Le système permet de densifier ces champs d’énergie en faisceau (comme un laser), ce qui le rendrait capable d’imprimer sur une « matière porteuse » les propriétés d’une substance placée dans l’appareil.
En dirigeant ce champ d’énergie, par exemple à travers un flux d’oxygène, sur un matériau, on réussit à conférer à ce dernier la capacité de rayonner une information thérapeutique bio-compatible au milieu à traiter . Autrement dit, grâce à son rayonnement de l’information oxygène,le matériau enclencherait des processus liés à l’oxygène sans qu’il y ait apport d’oxygène lors du traitement en la propage par résonance à tout milieu aquatique à traiter sans que le moindre atome matériel apparaisse.
On peut  utiliser de la poudre de quartz ainsi énergétisée dans un tube qui, placé dans des plans d’eau pollués, les régénère. Ce procédé susciterait l’activation de micro-organismes aérobies et neutraliserait l’eutrophisation des eaux ou des eaux croupissantes envahies par les algues. Les analyses bio-électroniques montrent que ce traitement replace les mesures des eaux sur les coordonnées de la vie.
On traite de la même façon, avec de la poudre de quartz, chargée de l’information oxygène, les lisiers, les composts, les fosses sceptiques, les bassins de pisciculture, etc….
Finalement, grâce aux informations imprimées sur diverses matières porteuses, des réactions bio-catalytiques vont être induites dans les milieux à traiter, ce qui va simplement soutenir les processus naturels et les activités bactériologiques en aérobie. Ces produits s'utilisent aussi bien pour toutes les cultures, l’élevage, les lisiers, les purins, les plans d’eau.
Texte inspiré de « L’Eau le miracle oublié »
de Jacques COLLIN,
Guy TREDANIEL Editeur.

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